Il est de bon ton, de la part de prétendus et sots jardiniers de vilipender ces temps-ci le géranium, tellement" ordinââire"!
Certes le géranium est facile et de bonne composition; certes il tenait compagnie au canari de Mimi Pinson sur le rebord de la lucarne de sa mansarde; certes, il décorait les abords des loges de concierges avant que ces derniers ne laissent la place aux digicodes, et le digicode, on en convient n'a nul besoin d'être fleuri.
Mais sans le géranium, quand les saisons ne se présentent pas selon nos voeux, quelles fleurs verrions_ nous dans nos jardins en juillet/août et jusqu'aux gelées?
Quelle autre plante accepte, quand il arrive qu'on la malmène, de voir la tige cassée repiquée illico dans le même pot et en profite pour donner plus d'opulence au pied , sinon ce bon garçon de géranium?
J'ai déjà commencé avec celui au feuillage pourpre dont j'ai oublié le nom et qui offre sur ses feuilles sombres des bouquets d'un rose étonnant...
Bon! puristes... je sais... ce ne sont pas de géraniums dont je vous vante les mérites, mais de pélargoniums. Et alors? mal les nommer ne mes empêche pas de prospérer...
Et ce n'est pas fini; je vous raconterai les autres quand viendra leur tour de faire des enfants. Et au fait... si vous en voulez, y'a qu'à demander...
1 commentaire:
Comme toi, Pomme, j'apprécie la générosité et la rusticité des géraniums", la simplicité de leurs fleurs, et leur présence fidèle tout au long des beaux jours...
Bises, et à bientôt !
NiNa-Lou
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