Pour le manger par la racine, il est toujours trop tôt et pour les feuilles, il est beaucoup trop tard.
Son pouvoir oraculaire est intact: vous faites un voeu, vous soufflez sur le pompon plumeux, plus vite il est dégarni, plus tôt votre souhait se réalise.
Ce faisant vous dispersez ses graines à tous vents, comme le faisait la Dame du Larousse (Julie) , du savoir. Ne songez pas à ses rosaces qui risquent de déshonorer votre gazon à l'anglaise, mais bien plutôt aux excellentes salades de février.
1 commentaire:
merci des pissenlits larousse fut bien inspiré et ton récit des vosges
mouillé comme la soupe c'est une belle image
bye ma belle
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